Paris 2024 : la poutre, un sport qui allie grâce et équilibre

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Sur une poutre large de 10 cm, les gymnastes n'ont pas le droit à l'erreur. La capitaine de l'Équipe de France, Marine Boyer, participe à sa dernière olympiade pour les JO de Paris.
Paris 2024 : la poutre, un sport qui allie grâce et équilibre Sur une poutre large de 10 cm, les gymnastes n'ont pas le droit à l'erreur. La capitaine de l'Équipe de France, Marine Boyer, participe à sa dernière olympiade pour les JO de Paris. (France 2)
Article rédigé par France 2 - M. Damoy, J. Ababsa, M. Neboth, E. Noël
France Télévisions
Sur une poutre large de 10 cm, les gymnastes n'ont pas le droit à l'erreur. La capitaine de l'Équipe de France, Marine Boyer, participe à sa dernière olympiade pour les JO de Paris.

La poutre, l'une des rares disciplines 100% féminine, est apparue aux Jeux Olympiques en 1928, l'année où les femmes ont eu le droit d'y concourir. La grâce de la danseuse et l'équilibre du funambule constituent la beauté de ce sport. Marine Boyer, capitaine de l'Équipe de France de gymnastique, s'entraîne sur une poutre, de 10 cm de large, située à 1,25 mètre du sol. Le faux pas n'est pas une option pour un salto costal.

Trois olympiades de suite pour Marine Boyer

"Le salto costal, c'est comme une roue, mais sans les mains. On va se servir de la poussée des jambes et des bras pour nous aider à tourner, orienter notre bassin", explique Marine Boyer. Aux JO, en 1,30 minute, il faut enchaîner au moins huit figures sur cinq mètres. Être petite permet de réaliser plus d'acrobaties sur une surface réduite et d'engranger plus de points. Paris 2024 sera la dernière olympiade de la championne réunionnaise, la troisième consécutive, un exploit inédit pour la gymnastique française.

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