Pluie et inondations : l'Hérault placé à son tour en vigilance orange, cinq départements du Sud désormais concernés

Le Gard, le Var, les Alpes-de-Haute-Provence et les Alpes-Maritimes sont toujours en alerte, samedi matin.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Des passants au bord de la mer à Nice, le 26 octobre 2024. (DYLAN MEIFFRET / MAXPPP)

Météo France étend sa surveillance en plaçant à son tour l'Hérault en vigilance orange pour des risques de "pluie-inondation", dans son bulletin diffusé à 6 heures, samedi 26 octobre. Cinq départements sont donc désormais concernés par une alerte. Le Gard est lui aussi concerné par des risques "pluie-inondation", tout comme le Var et les Alpes-Maritimes. Comme les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes et le Var sont également concernés par les risques de "crues".

Pour l'Hérault, "des cumuls atteignant 30 à 50 millimètres de manière très généralisée sont attendus, et localement 70 à 100 millimètres en plaine, avec des intensités localement fortes et des pluies temporairement stationnaires comme au cours de la nuit précédente. Dans l'arrière pays, notamment côté Espinouse, les cumuls pourraient atteindre 120 à 150 millimètre", a précisé Météo-France.

La vigilance orange "pluie-inondation" sur l'Hérault et le Gard court jusqu'à dimanche minuit, et jusqu'à dimanche 6 heures sur le Var et les Alpes-Maritimes.

Les cours d'eau en alerte sont le tronçon aval de l'Argens et l'amont du Var, précise le site Vigicrues(Nouvelle fenêtre). Météo-France prévoit "un épisode de fortes pluies parfois orageuses [sur] le sud-est du pays", en particulier sur le Gard et le sud-est de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Dans le Gard, des cumuls de plus de 40 mm ont été relevés, note Météo-France. "Il est tombé depuis hier soir sur une grosse moitié ouest du département 60 à 100 mm et ponctuellement 150 à 180 mm sur les Cévennes", ajoute l'institut dans son bulletin.

Consultez lamétéo
avec
voir les prévisions

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.