Séisme au Maroc : reste-t-il de l’espoir pour trouver des survivants ?
"Il y a le moment où a lieu le séisme. Le séisme de Kobe au Japon en 1995 avait eu lieu à 5h46 du matin. Heureusement, tous les trains n’avaient pas démarré, il n’y avait personne en ville. Dans les régions montagneuses, les gens sont plus chez eux. Au Japon, c’est plus dans les bureaux. La temporalité est très importante dans un séisme", avance Boris Weliachew, architecte et ingénieur.
"Il faut faire très vite"
"Une autre chose est que les conditions climatiques sont telles qu’on a plus de chance de survie de personnes qui pourraient être bloquées. Par contre, quand on regarde le type d’architecture qu’ils ont, contrairement à la Turquie où c’était en béton armé, c’est plus propice à créer des poches. Ce sont des gravats avec de la poussière (…) cela laisse moins d’espace et il faut faire très vite", poursuit l’expert en risques majeurs.
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