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LA PHOTO. Zimbabwe: premier scrutin présidentiel après la chute de Robert Mugabe

Dès le petit matin, le 30 juillet 2018, les queues d’électeurs zimbabwéens ont commencé à se former devant les bureaux de vote, comme ici à Mbare dans la banlieue de la capitale. Ils ne voulaient pas rater le rendez-vous avec le premier scrutin présidentiel depuis la chute de Robert Mugabe contraint, sous la pression de l’armée et de son propre parti, d’abandonner en novembre un pouvoir de 37 ans.
Article rédigé par Alain Chémali
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Malgré un total de 23 candidats, la course pour la fonction suprême se joue entre l'actuel chef de l'Etat Emmerson Mnangagwa, patron de la Zanu-PF, le parti au pouvoir depuis l'indépendance du Zimbabwe en 1980, et l'opposant Nelson Chamisa, leader du Mouvement pour le changement démocratique (MDC). Agé de 75 ans, le candidat Mnangagwa reste toutefois favori, mais l'écart avec son principal adversaire, âgé lui de 40 ans, s'est récemment réduit dans les sondages. (Luis TATO/AFP)

Les Zimbabwéens aux urnes pour élire un nouveau président. Malgré un total de 23 candidats, la course pour la fonction suprême se joue entre l'actuel chef de l'Etat Emmerson Mnangagwa, patron de la Zanu-PF, le parti au pouvoir depuis l'indépendance du Zimbabwe en 1980, et l'opposant Nelson Chamisa, leader du Mouvement pour le changement démocratique (MDC). Agé de 75 ans, le candidat Mnangagwa reste toutefois favori, mais l'écart avec son principal adversaire, âgé lui de 40 ans, s'est récemment réduit dans les sondages.

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