Eurozapping : le Premier ministre espagnol se rend en Afrique pour tenter de résoudre la question migratoire

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Eurozapping : le Premier ministre espagnol se rend en Afrique pour tenter de résoudre la question migratoire
Article rédigé par franceinfo - G. Dehlinger, C.. Ricco
France Télévisions
franceinfo
Comme chaque soir, le JT du 23h info fait un tour de l'actualité diffusée par les chaînes européennes de télévision. C'est l'Eurozapping du mercredi 28 août.

Des bateaux surchargés. Plus d'une centaine de migrants sont arrivés aux îles Canaries (Espagne), mardi 27 août dans l’après-midi. Au total, ils sont 23 000 depuis le début de l'année, soit deux fois plus que l'an dernier. Pour résoudre cette crise, le Premier ministre espagnol s’est rendu en Gambie et en Mauritanie. "Nous devons faire preuve d'humanité pour gérer l’immigration et combattre les mafias qui font du trafic d'êtres humains", a ainsi déclaré Pedro Sanchez. Sa solution, mettre en place des quotas pour répondre aux besoins de main-d'œuvre et des aides pour dissuader les 200 000 réfugiés maliens qui ont fui le Sahel de prendre la mer.

Des poissons morts en Grèce

L’Italie est frappée par des intempéries mortelles. Des torrents de boue se sont formés en quelques secondes. La Campanie, région de Naples, a été victime de pluies diluviennes. Une mère et son fils ont disparu dans une coulée. Depuis mardi, les recherches se poursuivent, en vain.

Des milliers de poissons morts en Grèce. Une catastrophe écologique a lieu dans la région de Volos, située au nord-est d'Athènes. Des poissons d'eau douce viennent s'échouer au bord de la mer, devant des touristes médusés. "Nous avons commencé l'opération de nettoyage du front de mer, des plages, des rochers, partout où il y a des poissons morts", a expliqué Achilleas Beos, maire de Volos. Ce phénomène est une conséquence des inondations du printemps dernier. Un lac s’est reformé et son reflux pousse les poissons vers la mer, où l'eau salée leur est fatale.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.