Soutien français à l'Ukraine : "Nous avons besoin de maintenir une pression forte sur Vladimir Poutine", estime Olivier Faure, premier secrétaire du PS

Publié
Durée de la vidéo : 10 min
Soutien français à l'Ukraine : "Nous avons besoin de maintenir une pression forte sur Vladimir Poutine", estime Olivier Faure, premier secrétaire du PS
Guerre en Ukraine : "Nous avons besoin de maintenir une pression forte sur Vladimir Poutine", estime Olivier Faure, premier secrétaire du PS Soutien français à l'Ukraine : "Nous avons besoin de maintenir une pression forte sur Vladimir Poutine", estime Olivier Faure, premier secrétaire du PS (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - S. Chironi, G. Bornstein
France Télévisions
franceinfo
Olivier Faure est l’invité du 19/20 info, jeudi 7 mars. Le premier secrétaire du Parti socialiste (PS) a participé à la réunion qu’Emmanuel Macron a tenue à l’Élysée sur l’Ukraine.

Emmanuel Macron a reçu, jeudi 7 mars, les chefs de parti à l’Élysée pour évoquer avec eux la situation en Ukraine et la position de la France dans ce conflit. "Il n’y a pas de limite au soutien de la France à l’Ukraine", aurait déclaré le chef de l’État à cette occasion. Une mise au point qui n’a "rien de très neuf", estime Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste (PS), dans le 19/20 info, jeudi soir.

"Il n’y a pas eu d’information nouvelle nourrie par la rencontre avec le chef de l’État", explique le député de Seine-et-Marne, ajoutant qu’Emmanuel Macron n’a "pas été particulièrement alarmiste", sans omettre pour autant les difficultés de l’Ukraine.

"Il faut qu’un adversaire s’attende toujours au pire"

Concernant le soutien sans bornes à Kiev, Olivier Faure reconnaît le besoin de se montrer dissuasif : "Il faut qu’un adversaire s’attende toujours au pire, c’est la base de la dissuasion nucléaire". "Nous avons besoin de maintenir une pression forte sur Vladimir Poutine, lui dire que nous sommes derrière la résistance ukrainienne et que nous ne la lâcherons pas", souligne le chef de file des socialistes.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.