Cet article date de plus de huit ans.
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découvrir nos newsletters (Nouvelle fenêtre)Il y a près d'un an, environ 500 migrants s'installaient sur ce site, dépourvu alors de cabanes et de points d'eau. Aujourd'hui, ils sont plusieurs milliers.
Les migrants de la "jungle" de Calais ne comptent pas y rester, et tentent chaque jour de rejoindre l'Angleterre. Pourtant, ces hommes, femmes et enfants, qui fuient la misère et/ou des pays en guerre, veulent préserver leurs habitations de fortune, dont une partie est menacée de destruction. Alors que la préfecture du Pas-de-Calais espère proposer des solutions décentes d'hébergement provisoire aux milliers de migrants de la "jungle", cette ville dans la ville reste tant bien que mal sur pied depuis sa création, en mars 2015, sur les ruines de campements précédents.
A partir de mercredi 24 février, le tribunal administratif de Lille doit statuer sur le référé introduit pour tenter d'obtenir un report de l'évacuation de la partie sud de la "jungle". Francetv info vous montre son étendue.
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