L'Allemagne a décidé de réintroduire des contrôles à ses frontières, afin de mieux organiser l'arrivée des migrants sur son territoire.
Les contrôles d'identité à la frontière ont remplacé les applaudissements. Depuis que l'Allemagne a choisi de réintroduire provisoirement des contrôles à ses frontières pour faire face à l'afflux de migrants, ses voisins ont suivi le mouvement. L'Autriche freine les arrivées des exilés venus de Hongrie. Et cette dernière, l'une des portes d'entrées de l'espace Schengen, a clôturé 175 kilomètres de frontière avec la Serbie.
Ce repli (temporaire, en tout cas pour l'Allemagne) a pour objectif de réguler les arrivées et d'exercer une pression sur les pays qui n'assument pas leur part de responsabilité dans l'accueil des migrants. Files d'attente, embouteillages, arrestations… la fermeture des frontières a aussi immédiatement entraîné des conséquences visibles, aux différents points de passage empruntés particulièrement par des milliers de Syriens et d'Irakiens, ces derniers jours.
Des policiers contrôlent l'identité de réfugiés, à Frailassing, en Allemagne, le 14 septembre 2015. (KERSTIN JOENSSON / AP/SIPA)Un policier allemand trie les voiture pour le contrôle à la frontières avec l'Autriche, à Passau, le 14 septembre 2015. (CHRISTOF STACHE / AFP)La police retient les migrants qui tentent de passer la frontière entre la Hongrie et l'Autriche, à Nikelsdorf, le 14 septembre 2015. (LEONHARD FOEGER / REUTERS)Contrôle des passeports dans un train entre Graz et Prague, près de la frontière entre la République Tchèque et l'Autriche, le 14 septembre 2015 (DALIBOR GLUCK / AP / SIPA)Pour verrouiller la frontière, un wagon couvert de barbelés, à Horgos. (ARMEND NIMANI / AFP)Des détenus de la prison de Szeged (Hongrie), ont été mis à contribution, pour monter la clôture. (ARMEND NIMANI / AFP)Des policiers attendent près d'une bretelle d'autoroute, près de Passau. (CHRISTOF STACHE / AFP)Des policers contrôlent une femme réfugiée et sa fille, à la frontière entre l'Autriche et l'Allemagne, le 14 septembre 2015. (GUENTER SCHIFFMANN / AFP)Un militaire hongrois apporte du câble barbelé pour monter une clôture, à la frontière entre la Hongri et la Serbie, le 14 septembre 2015. (BERNADETT SZABO / REUTERS)Des migrants passent sous la clôture de sécurité d'une autoroute, près du village de Horgos, en Serbie, à la recherche d'un point d'entrée vers la Hongrie, qui a fermé sa frontière, le 14 septembre 2015. ( MARKO DJURICA / REUTERS)A Horgos, en Serbie, le 14 septembre 2015. ( MARKO DJURICA / REUTERS)La police montée hongroise patrouille le long de la frontière avec la Serbie, à Roszke, le 14 septembre 2015. (LASZLO BALOGH / REUTERS)Dernière phase de montage de la clôture entre la Serbie et la Hongrie, le 14 septembre 2015. (ATTILA KISBENEDEK / AFP)Des migrants arrêtés en Hongrie après avoir franchi la frontière illégalement, le 15 septembre. Ils risquent 3 ans de prison. (BERNADETT SZABO / REUTERS)Un enfant attend dans un train, à la gare de Roszke, en Hongrie, le 15 septembre 2015. (DADO RUVIC / REUTERS)Beaucoup d'entre eux ont passé la nuit de lundi à mardi au pied de cette clôture, côté serbe, espérant encore pouvoir entrer en Hongrie. ( MARKO DJURICA / REUTERS)
:quality(50)/2021/12/14/61b8b98958ba5_camille-caldini.png)
:quality(50)/2015/09/15/sipa_ap21792608_000004_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/000_DV2126943_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS10W1_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/sipa_ap21792671_000004_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/000_Par8274484_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/000_TS-Par8274209_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/000_DV2126942_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/000_DV2126553_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS125G_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS12IW_1_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS12UQ_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS12IE_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/000_TS-DV2127083_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS1549_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS1571_1.jpg)
:quality(50)/2015/09/15/RTS14X2_1.jpg)
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.