L'opération de la dernière chance en Grèce
C'est un nouveau compte à rebours qui s'est engagé pour la Grèce.
Le dossier de la Grèce sera au coeur de la réunion des chefs d'États et de gouvernements lundi 22 juin, à Bruxelles. Depuis quelques heures, on se parle beaucoup de Bruxelles à Athènes, en passant par Berlin.
En apparence, les Grecs, eux, ne changent rien à leurs habitudes et ont profité d'un dimanche ensoleillé à la plage ou à la pêche. Pourtant, chacun a bien conscience que le pays est dans une mauvaise passe.
Volonté de négociations
"On a peur, mais il faut que le gouvernement négocie, sinon on n’arrivera à rien", plaide un Grec au micro de France 2. Après cinq années d'austérité, les Grecs sont devenus fatalistes : "C'est de pire en pire, mais j'espère que la situation va s'améliorer", constate un autre.
En majorité, les Grecs soutiennent leur gouvernement dans les négociations même si certains plaident pour des concessions afin de rester dans la zone euro.
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