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Christophe Kenck : «Gilles me manque»

Ils ont vécu ensemble les révolutions du printemps arabe. Christophe Kenck et Gilles Jacquier réalisaient ensemble un reportage à Homs, en Syrie, lorsqu'un obus de mortier a transformé cette journée du 11 janvier 2012 en cauchemar.
Article rédigé par Hervé Pozzo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
"Trouver la bonne histoire, savoir la raconter...Gilles était un homme d'exception" (Caroline Poiron)

Au-delà des reportages mainte fois primés, des bons comme des mauvais moments, Christophe Kenck, lorsqu'il parle de Gilles Jacquier, évoque «sa capacité à sentir les choses» depuis Paris ou sur le terrain. «Gilles savait trouver la bonne histoire, il ne s'interdisait rien, ensuite, pour la raconter». En relation avec Françoise Joly, d'Envoyé Spécial, Gilles Jacquier «améliorait sans cesse le sujet, changeait l'angle quand il le fallait». Avec Christophe Kenck, peu de mots étaient nécessaires pour prendre une décision, quelques regards parfois suffisaient.

Encore marqué par la disparition de son collègue et ami, Christophe Kenck lui rend un hommage émouvant.

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