Guerre au Liban : En première ligne, un hôpital de la Bekaa tente de poursuivre son activité

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Les frappes de l'armée israélienne se poursuivent, samedi 5 octobre, sur la capitale libanaise. Selon les autorités, l'activité de plusieurs hôpitaux de la ville a été suspendue. Dans l'est du pays, vers la frontière syrienne, un service hospitalier de la région vit au cœur de la menace des bombardements. Reportage.
Guerre au Liban : En première ligne, un hôpital de la Bekaa tente de poursuivre son activité Les frappes de l'armée israélienne se poursuivent, samedi 5 octobre, sur la capitale libanaise. Selon les autorités, l'activité de plusieurs hôpitaux de la ville a été suspendue. Dans l'est du pays, vers la frontière syrienne, un service hospitalier de la région vit au cœur de la menace des bombardements. Reportage. (France 2)
Article rédigé par France 2 - L. Lacroix, N. Auer, L. Lavieille, L. Bergmeijer
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Les frappes de l'armée israélienne se poursuivent, samedi 5 octobre, sur la capitale libanaise. Selon les autorités, l'activité de plusieurs hôpitaux de la ville a été suspendue. Dans l'est du pays, vers la frontière syrienne, un service hospitalier de la région vit au cœur de la menace des bombardements. Reportage.

Sur la route qui mène à la vallée de la Bekaa, il est possible de retrouver partout le portrait d'Hassan Nasrallah, l'ancien chef du Hezbollah, éliminé par Israël. Située à l'est du Liban, la plaine de la Bekaa est la base arrière du mouvement chiite. Depuis 13 jours, c'est l'une des zones les plus ciblées par l'armée israélienne. En plein centre se trouve un hôpital. Durant la nuit du 4 au 5 octobre, un bombardement a frôlé l'établissement de santé.

400 blessés admis, dont 45 enfants en deux semaines.

En seulement deux semaines, 400 blessés ont été admis, dont 45 enfants. Parmi eux, une jeune patiente de neuf ans. Le bombardement de sa maison dans le sud du Liban a tué ses parents et sa sœur jumelle. Il ne lui reste que son cousin, Ibrahim. Au moment de la frappe, il était parti chercher la voiture pour évacuer toute la famille. "Je suis arrivé et j'ai vu la maison détruite. J'ai retrouvé des morceaux de corps. C'est tout ce que j'ai retrouvé," raconte-t-il en larmes.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

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