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Soupçons d'ingérence russe aux États-Unis : Moscou nie en bloc

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Soupçons d'ingérence russe aux États-Unis : Moscou nie en bloc
Soupçons d'ingérence russe aux États-Unis : Moscou nie en bloc Soupçons d'ingérence russe aux États-Unis : Moscou nie en bloc (FRANCE 3)
Article rédigé par France 3
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Alors que trois membres de l'équipe de campagne de Donald Trump sont poursuivis dans l'enquête sur les présumées ingérences russes dans son élection, les autorités russes ont démenti toute implication.

L'étau judiciaire se resserre autour de Donald Trump. Son ex-directeur de campagne, Paul Manafort, et deux autres de ses anciens conseillés ont été inculpés lundi 30 octobre dans le cadre de l'enquête ouverte sur une possible ingérence russe dans la présidentielle Américaine. La Maison-Blanche garde pour l'instant ses distances.

Les réseaux sociaux comme vecteurs de propagande pro-Trump ?

Paul Manafort, avocat et puissant lobbyiste, a été inculpé ainsi que son associé, Richard Gates, mais pour des faits anciens, sans lien direct avec l'élection américaine de 2016. Cette arrestation serait un moyen de pression pour obtenir leur collaboration dans l'enquête. Ce mardi 31 octobre, Moscou continue de nier toute implication. Mais ce mardi 31 octobre, les responsables de Facebook, Twitter et Google vont être auditionnés par des commissions au Sénat. Un objectif : déterminer si les réseaux sociaux ont pu être utilisés par les Russes pour mener une propagande favorable à Donald Trump. Selon Hillary Clinton, 126 millions d'Américains auraient été touchés par cette propagande via les réseaux sociaux.

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