Conférence de presse d'Emmanuel Macron : il veut "prendre l'espace politique du Rassemblement national", selon Marianne Maximi, députée LFI

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Mercredi 17 janvier, Marianne Maximi, députée LFI du Puy-de-Dôme et Alexandre Portier, député LR du Rhône, sont invités du 12/13 info. Ils reviennent sur la conférence de presse d'Emmanuel Macron
Conférence de presse d'Emmanuel Macron : il veut "prendre l'espace politique du Rassemblement national", selon Marianne Maximi, députée LFI du Puy-de-Dôme Mercredi 17 janvier, Marianne Maximi, députée LFI du Puy-de-Dôme et Alexandre Portier, député LR du Rhône, sont invités du 12/13 info. Ils reviennent sur la conférence de presse d'Emmanuel Macron (franceinfo)
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Mercredi 17 janvier, Marianne Maximi, députée LFI du Puy-de-Dôme et Alexandre Portier, député LR du Rhône, sont invités du 12/13 info. Ils reviennent sur la conférence de presse d'Emmanuel Macron.

Au lendemain de la conférence de presse d'Emmanuel Macron, Alexandre Portier, député LR du Rhône, a trouvé le discours du président "extrêmement décevant". "Quand on regarde l'éducation, tout avait déjà été annoncé depuis longtemps", ajoute-t-il. Il estime aussi que le président n'a "aucun cap pour la nation". Marianne Maximi, députée LFI du Puy-de-Dôme, également invitée du 12/13 info mercredi 17 janvier, voit un cap dans ce discours, avec un virage à droite.  

"Emmanuel Macron ne voit pas qu'une partie du pays souffre" 

"Je vois un cap, c'est de continuer une politique à destination des plus aisés, c'est de continuer une politique de casse sociale", indique la députée LFI. Pour Marianne Maximi, Emmanuel Macron "veut prendre l'espace politique du Rassemblement national et des Républicains".  

Concernant le pouvoir d'achat, le président a indiqué que le prix de l'électricité allait revenir à la normale. "C'est très loin de ce qu'attendent les Français (…) On a l'impression qu'Emmanuel Macron ne voit pas qu'on a une partie du pays qui souffre", selon Alexandre Portier. Un bouclier tarifaire avait été mis en place. "On a pris sur l'argent des impôts, au lieu d'affronter ceux qui, aujourd'hui, font des profits de plus en plus énormes", conclut Marianne Maximi.  

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