Affaire Jacqueline Sauvage : retour sur la grâce présidentielle
En plateau, Dominique Verdeilhan revient sur la grâce présidentielle.
François Hollande reçoit ce vendredi 29 janvier les filles de Jacqueline Sauvage qui demandent la grâce présidentielle pour leur mère. "Il y a beaucoup de demandes et peu d'élus", note Dominique Verdeilhan qui revient sur la grâce présidentielle en plateau.
"Une simple signature"
"C'est le chef de l'État qui décide en son âme et conscience. Il reçoit les demandeurs et puis il sollicite aussi évidemment l'avis de la direction des affaires criminelles et des grâces au ministère de la Justice. Si c'est un oui et bien c'est une simple signature au bas d'un décret", détaille le journaliste de France 2 avant d'ajouter qu'il s'agit d'"une prérogative présidentielle qui se perd. Autant le général de Gaulle a usé de ce droit, autant ses successeurs sont réticents". Enfin, Dominique Verdeilhan insiste : "qui dit grâce, ne dit pas innocence. La condamnation reste inscrite au casier judiciaire".
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