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Hollande : la volonté d'une "concorde", pas de "combinaisons" politiques

François Hollande a explicité vendredi à Bruxelles, en marge d'un sommet européen, ce qu'il attend d'un dialogue en France avec l'opposition. Une "concorde" dans l'intérêt du pays, et non pas des "combinaisons" politiques.
Article rédigé par franceinfo
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  (Le président de la République a précisé le sens de son appel "à la concorde" nationale lancé lors de sa visite dans le Nord-Pas-de Calais au côté de Xavier Bertrand © MaxPPP)

En marge du sommet de Bruxelles consacré en grande partie à la réforme de l'Union européenne et au maintien ou non de la Grande-Bretagne dans l'UE, François Hollande est revenu sur un thème de politique nationale issu des élections régionales. Des responsables de gauche et de droite ont plaidé pour un rapprochement. Le chef de l'Etat a évoqué à nouveau la nécessité d'une "concorde ", un terme qu'il avait utilisé quelques heures auparavant, dans le Pas-de-Calais,lors de l'inauguration du monument des Fraternisations. 

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 François Hollande a souhaité "l'ouverture d'un dialogue et notamment avec l'opposition lorsqu'elle a des propositions à faire" . "Cela a été le cas notamment en matière de lutte contre le terrorisme. C'est cet esprit-là qu'il faut faire prévaloir" a jouté le chef de l'Etat, qui a précisé les contours de son projet.  > "Il ne s'agit pas de chercher je ne sais quelles combinaisons qui ne relèvent pas de ma conception de la vie politique, mais plutôt de la concorde pour l'intérêt du pays." 

"Une concorde, "pas de combinaisons" : François Hollande, en marge d'un sommet européen à Bruxelles
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