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Vidéo "A la fin des meetings, nous enlevions les chaises" : l'explication de Denormandie sur les ristournes accordées au candidat Macron

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Comptes de campagne d'Emmanuel Macron : "les adhérents d'En marche enlevaient eux-mêmes les chaises à la fin des meetings", explique Julien Denormandie.
Comptes de campagne d'Emmanuel Macron : "les adhérents d'En marche enlevaient eux-mêmes les chaises à la fin des meetings", explique Julien Denormandie Comptes de campagne d'Emmanuel Macron : "les adhérents d'En marche enlevaient eux-mêmes les chaises à la fin des meetings", explique Julien Denormandie. (FRANCE 3)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Sur France 3, dimanche, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Cohésion des territoires est revenu sur les avantages qu'aurait reçus Emmanuel Macron lors de la campagne présidentielle de la part de la société GL Events.

Julien Denormandie n'a pas échappé à la question. Invité de "Dimanche en politique" sur France 3, dimanche 6 mai, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Cohésion des territoires a réagi sur la polémique en cours au sujet des avantages qu'aurait reçus Emmanuel Macron lors de la campagne présidentielle de la part de la société GL Events.

Pour ce pilier de la jeune garde du président, "c'est un faux sujet". En France, dit-il, "vous avez une entité qui s'appelle la Commission nationale des comptes de campagne qui a validé les comptes de campagne" du candidat Macron.

"Vous comparez des choux et des carottes"

Selon Mediapart (article payant), le mouvement lancé par Emmanuel Macron a bénéficié de "cadeaux" via des remises de GL Events sur ses prestations, notamment pour des locations de salle et de matériel lors de meetings. Des remises de 30%, 50% et parfois même de 100%, s'étonne le site d'information. 

Julien Denormandie se défend : "Vous comparez des choux et des carottes". "Moi j'ai fait tous les meetings. A la fin, c'est nous, les adhérents, les salariés du mouvement, qui enlevions toutes les chaises". Il explique aussi avoir donné un coup de main pour installer "la sono avant le meeting." De là à justifier ces possibles réductions ? "C'est un des éléments", répond le secrétaire d'Etat.

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