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Le Premier ministre a égratigné samedi un PS contraint de "ravaler" ses "leçons de morale", selon lui

Allusion implicite à l'affaire Strauss-Kahn qui a ébranlé le PS.Pendant ce temps, s'est félicité François Fillon, l'UMP, elle, "débat", "réfléchit" et "concentre ses forces" pour faire du bilan du quinquennat le "socle" de sa reconquête, a lancé François Fillon lors du discours de clôture du conseil national du parti présidentiel à Paris.
Article rédigé par France2.fr avec agences
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François Fillon au conseil national de l'UMP, le 28 mai 2011 (AFP/Bernard Langlois)

Allusion implicite à l'affaire Strauss-Kahn qui a ébranlé le PS.

Pendant ce temps, s'est félicité François Fillon, l'UMP, elle, "débat", "réfléchit" et "concentre ses forces" pour faire du bilan du quinquennat le "socle" de sa reconquête, a lancé François Fillon lors du discours de clôture du conseil national du parti présidentiel à Paris.

Le chef du gouvernement a insisté sur la quantité et la profondeur des réformes entreprises depuis 20017.

"Nous avons tenu la quasi-totalité des engagements (...) malgré la crise". "Surtout, nous avons fait évoluer en profondeur la société française", a-t-il fait valoir, évoquant une "révolution culturelle".

A titre exemple, il a mis en avant les réformes relatives à l'autonomie des universités, au dialogue social et à la représentativité syndicale, au service minimum et aux retraites. Il n'a pas manqué d'ajouter à cette liste les derniers chiffres favorables enregistrés sur le front de l'économie.

François Fillon a dit avoir une "conviction chevillée au corps", celle que les Français "sauront gré" à Nicolas Sarkozy son action, notamment au niveau international. Dans l'attente, il a réaffirmé vouloir "garder le cap" des réformes et de la "gestion rigoureuse des dépenses publiques"... "jusqu'au dernier jour" du quinquennat.

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