Primaire de la gauche : une mobilisation saccadée
À trois mois de l'élection présidentielle, quelle était l'ambiance dans les bureaux de vote de la primaire de la gauche ce dimanche 22 janvier ?
On ne se bouscule pas dans les bureaux de vote de la primaire de la gauche. À Poitiers (Vienne), les électeurs dépités se cherchent. En Auvergne, la mobilisation de mesure aussi à l'état des routes, et ce n'est pas qu'une bonne excuse. Dans la Drôme, si certains s'expriment par conviction, d'autres votent à reculons.
Faible participation du matin : une raison de mobilisation
À midi, la participation est deux fois moins importante qu'en 2011, une motivation supplémentaire pour ces électeurs parisiens. L'hésitation du matin a fait place à la mobilisation de l'après-midi. Pourtant, certains ont pris goût aux primaires et ont participé aux deux votes payants, à droite comme à gauche. Aujourd'hui, la gauche a manifestement perdu des voix. Ils étaient sept candidats ce matin et il n'en restera que deux ce soir.
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