Drame à Mayotte : la solidarité en ordre de marche

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Emmanuel Macron avait promis une loi spéciale pour reconstruire Mayotte. Manuel Valls, le ministre des Outre-Mers, annonce que le texte devrait être présenté en Conseil des ministres le 3 janvier. En attendant, les Mahorais se mobilisent plus que jamais.
Drame à Mayotte : la solidarité en ordre de marche Emmanuel Macron avait promis une loi spéciale pour reconstruire Mayotte. Manuel Valls, le ministre des Outre-Mers, annonce que le texte devrait être présenté en Conseil des ministres le 3 janvier. En attendant, les Mahorais se mobilisent plus que jamais. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - L. Cadiou, M. Boucher, J. Maoulida, Y. Navion, C. M’Madi
France Télévisions
Emmanuel Macron avait promis une loi spéciale pour reconstruire Mayotte. Manuel Valls, le ministre des Outre-Mers, annonce que le texte devrait être présenté en Conseil des ministres le 3 janvier. En attendant, les Mahorais se mobilisent plus que jamais.

À 13 ans, Moussa a tout du parfait urgentiste, avec des mots gentils pour ses patients. Cet élève de 4e a perdu un de ses amis lors du cyclone alors il a fait de cette solidarité un devoir. "Tout le monde pleure son absence et tout le monde aurait dû être comme lui : protégé" présente le jeune garçon. Avec leur professeur d’EPS, ces jeunes multiplient les actions partout sur le territoire endeuillé. Des bénévoles en herbe qui attendent le soutien de l’Etat avec impatience.

Une brigade de bénévoles pour nourrir la population

Autre élan de solidarité : celui d’Hadidja Ibrahim. Chaque jour elle prépare dans son restaurant « Comme à la maison » plus de 300 repas : "il y a beaucoup de choses qui restaient alors nous nous sommes dit que nous allions préparer à manger pour tout le monde, surtout les enfants." Avec ses collègues, elles enchaînent la préparation des repas, faisant ainsi "le maximum pour aider les gens".

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.