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Vidéo Affaire Théo : pas de quartier pour les fauteurs de trouble, assène Jean-Pierre Raffarin

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Théo et Raffarin
Théo et Raffarin Théo et Raffarin
Article rédigé par France 3
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Invité de "Dimanche en politique", Jean-Pierre Raffarin revient sur les manifestations contre les violences policières du 18 février et prend la défense des forces de l’ordre.

Dix jours après le viol présumé d’un jeune homme suite à une interpellation par des policiers à Aulnay-sous-Bois, le samedi 18 février, des manifestants sont venus crier leur indignation face aux violences policières et réclamer "Justice pour Théo". Jean-Pierre Raffarin se prononce pour plus de sévérité dans les interdictions de manifestation. Il y a "de la violence contre la police aussi" rétorque le conseiller de François Fillon, qui cible l’extrême gauche et s’insurge contre l’appel à rejoindre cette manifestation lancé par le Syndicat de la magistrature.

"La police est indispensable à la société"

Il élargit son propos : "Je pense qu'il y a un certain nombre de manifestations qui se sont passées, dans les mois précédents, dans lesquelles la police n'a pas été en mesure d'assurer l'ordre public", faisant référence à la contestation de la loi Travail au printemps 2016.

Revenant sur "l’affaire Théo", l’ancien Premier ministre prend la défense des forces de l’ordre : "Il peut y avoir des brebis galeuses dans la police mais il ne faut pas faire d’amalgame." "La police est indispensable à la société", poursuit-il, reconnaissant que l’on a besoin d’une police de proximité même si c’est sous son gouvernement, en 2003, que celle-ci a été supprimée par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy.

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