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L'hypnose: un art de vivre

Le 20eme congrès mondial sur l'hypnose a démarré à Paris, aujourd'hui. Il dure jusqu’à samedi (le 29). 2300 professionnels de santé y participent. Ils viennent de 45 pays. L'occasion de faire le point, et d'évoluer vers davantage d'hypnose, pour soigner les gens, ou les aider à ne pas souffrir.
Article rédigé par Nathalie Bourrus
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Une séance d'hypnose © Maxppp)

Ne pas souffrir.

Aider les patients dans ce chemin, parfois insupportable de la maladie, et de la douleur.

Soigner la peur d'avoir mal.

L'hypnose est decortiquée pendant 3 jours, à Paris, au travers de colloques, de démonstrations, d'ateliers.

A entendre ces médecins, infirmiers et infirmières, psy, on pourrait apaiser toutes les douleurs, grâce à elle.

L'hypnose fait encore peur, et tous en ont conscience.

Les plus talentueux insistent sur la relation médecin-patient, essentielle à la reussite de l'état hypnotique.

Et de cette reussite pourra dépendre l'idée de pratiquer une opération chirurgicale, sous hypnose.

Incroyable?

Cela existe déjà, y compris dans des hôpitaux parisiens.

On glisse des mots a l'oreille du patient, qui arrive le plus souvent à mettre de côté les sensations dues à la souffrance. 

Le cerveau, qui possède tant de ressources et de capacités, prend alors le dessus.

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