Avant les arts premiers, la chanson à l'Expo coloniale
Il faut bien admettre que le premier regard que porte la chanson sur ce que l’on n’appelle pas encore les civilisations premières n’est pas exempt d’un sentiment de supériorité assez insupportable de nos jours. Mais ce n’est pas forcément mieux dans le discours le plus savant…
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Max Regor, Y'a bon à l'exposition , 1931
Marc Hély, L'exposition coloniale , 1931
Léon Raiter, Li noix d'coco, 1932
Eugène Pittard, Les Masques dans le monde, 1944
Tintin, L'Oreille cassée , 1977
Orchestre Stellio de l'Exposition coloniale, A mi Roro, 1931
Bennett Lerner, Nuit coloniale sur les bords de la Seine, 1937
Zazie, Totem, 2007
Julien Clerc, Cris, tambours et masques de guerre, 1971
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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