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Avant les arts premiers, la chanson à l'Expo coloniale

Les années 30 n'avaient pas beaucoup de respect pour les arts des peuples "indigènes". A l'occasion du dixième anniversaire du musée du Quai Branly, retour sur ce passé...
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 5 min
  (Depuis dix ans, le muséedu Quai Branly présente les collections publiques d'arts premiers. © Andreas Praefcke — Creative Commons)

 Il faut bien admettre que le premier regard que porte la chanson sur ce que l’on n’appelle pas encore  les civilisations premières n’est pas exempt d’un sentiment de supériorité assez insupportable de nos jours. Mais ce n’est pas forcément mieux dans le discours le plus savant…

 

 

Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

Max Regor, Y'a bon à l'exposition , 1931

Marc Hély, L'exposition coloniale , 1931

Léon Raiter, Li noix d'coco, 1932

Eugène Pittard, Les Masques dans le monde, 1944

Tintin, L'Oreille cassée , 1977

Orchestre Stellio de l'Exposition coloniale, A mi Roro, 1931

Bennett Lerner, Nuit coloniale sur les bords de la Seine, 1937

Zazie, Totem, 2007

Julien Clerc, Cris, tambours et masques de guerre, 1971

 

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.

Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.

Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.

Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.

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