La chanson face à l'antisémitisme
Longtemps, l’antisémitisme s’est exprimé à visage découvert dans la culture populaire. La chanson essaie régulièrement de lutter contre ce poison. Mais il est vrai qu’elle a aussi véhiculé des clichés. Et quand on réfléchit au désarroi que traverse actuellement la communauté juive de France, il faut aussi se demander comment le pire a pu survenir, jadis.
Dans le premier épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :
Stéphane Golmann, Les Juifs , 1954
Fernandel, La Noce à Rebecca , 1929 (enregistrement de 1968)
Ray Ventura et ses Collégiens, Ca vaut mieux que d'attraper la scarlatine , 1936
Suzanne Dehelly, Ca vaut mieux que d'attraper la scarlatine , 1937
Interview de M. Laville de l'Institut d'étude des questions juives, 29 mai 1942
Fernandel, Félicie aussi , 1939
Arletty, La femme est faite pour l'homme , 1933
Georges Milton, C'est pour mon papa, 1930
Armand Bernard, La Margoton du bataillon , 1933
André Dassary, Maréchal nous voilà, 1941
Doc Gynéco, Dans ma rue , 1996
Black M, Dans ma rue, 2015
Philippe Clay, Les Juifs , 1975
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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