La chanson, héritière revendiquée de ses grands disparus
Il est instructif de voir, dans les chansons, la distance entre ce que l’on dit des artistes de leur vivant et la manière dont on les célèbre après leur mort. Quelques exemples sont édifiants…
Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :
Charles Trenet, L'Ame des poètes, 1951
Georges Brassens, Le Vieux Léon, 1958
Marie-Paule Belle, A Damia, 1976
Serge Reggiani, Edith, 1972
Céline Dion, Piaf chanterait du rock, 1991
Yves Simon, Je me souviens, 1999
Eddy Mitchell, Au bar du Lutetia, 2003
Cécile Verny, A Gainsbourg, 2002
Olivier Villa, A Gainsbarre, 2002
Pierre Louki, Nous n'étions pas faits pour que tu nous laisses, 2004
Maxime Le Forestier, La Visite, 1988
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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