Ola Abbas : la Syrienne qui a dit non
"En Syrie, les médias ne sont pas indépendants", explique Ola Abbas. La chaîne Al Jazeera a été la première à travailler librement.
Pendant la révolution, il était impossible aux journalistes de parler librement, sous peine de perdre leur travail ou d'être emprisonnés. Un jour, Ola Abbas a voulu faire quelque chose de courageux en quittant son poste de journaliste. Mais très vite, comme tous ceux qui prennent cette décision, elle a été menacée.
"J'ai choisi Paris car c'est le pays de la Révolution, fraternité, égalité, liberté. Donc je croyais que je pouvais parler librement, et c'est la vérité ", explique Ola Abbas.
Ola Abbas ne contacte jamais sa famille restée en Syrie de peur que celle-ci soit menacée par le régime.
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