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Mon métier : reporter de guerre

À l'occasion de la remise du prix Bayeux-Calvados ce samedi, des collégiens posent toutes leurs questions sur son métier à un reporter de guerre, au micro de France Info junior.
Article rédigé par Estelle Faure
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Reporters de guerre. Ici en Syrie, le 19 juin 2013 © Sipa Press)

Chaque année depuis 1994, le prix Bayeux-Calvados met en lumière le métier difficile mais nécessaire des correspondants de guerre, qu'ils soient photographe, journaliste de presse écrite, radio, télé ou autre. Le prix Bayeux-Calvados qui leur rend hommage sera remis ce samedi, pour la 22e édition. Un métier exercé dans des conditions souvent dangereuses, sur des terrains hostiles. Des conférences et expositions ont été organisées depuis le 5 octobre pour mettre en avant le travail de ces reporters partis aux quatre coins du monde. Dans la ville de Bayeux, un mémorial rend d'ailleurs hommage aux 2.000 reporters morts depuis 1944 en exerçant leur métier : informer. Selon Reporters sans frontières, l'an dernier, 71 journalistes et 20 blogueurs citoyens ont été tués. Une stèle en hommage aux journalistes assassinés en 2014 et 2015 a été dévoilée jeudi, dont parmi eux, ceux de Charlie Hebdo abattus le 7 janvier dernier.

Comment travaille un journaliste dans un pays en guerre ? Que voit-il ? Que ressent-il ? Rayan et Laëtitia sont en sixième au collège Elsa Triolet de Paris. Ils posent toutes leurs questions à , correspondant de Radio France à Beyrouth, il a par exemple couvert le conflit en Syrie et les combats dans la ville de Kobané.

À VOIR ►►►  Un mémorial virtuel pour rendre hommage aux 2.000 journalistes morts depuis 1944 en faisant leur métier

À ÉCOUTER ►►► Le reporter Omar Ouahmane a suivi une famille syrienne dans leur dangereuse traversée de la Méditerranée

  (FIJ pola reporter de guerre)

 

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