Esport : La Ligue Française de League of Legends vise les sommets pour 2024

Séduire de nouveaux publics, en France et à l'étranger. Cela reste l'ambition de la LFL, la Ligue Française de League of Legends. Ce championnat est sportivement très attractif puisque deux tiers des joueurs qui évoluent dans l'élite française sont des joueurs étrangers. Cela attire évidemment des publics venus d'ailleurs.

L'une des forces de la LFL réside aussi dans les événements physiques qu'elle arrive à produire, et à ce niveau-là, l'éditeur et le coproducteur du championnat, Riot Games et Webedia, promettent une saison inédite avec toujours des LFL days – dès les 7 et 8 février au Palais Nikaïa de Nice – mais aussi des finales qui auront lieu en public, alors qu'elles se jouaient en ligne jusqu’à maintenant.

Guichets fermés garantis avec l'engouement des fans français pour des structures populaires et fédératrices comme la Karmine Corp, Solary, Vitality ou encore Aegis et Gentle Mates, structures plus jeunes, mais soutenues par des influenceurs comme Zerator, Squeezie ou Gotaga.

Le diffuseur de la ligue sur Twitch, OTP, a également fait peau neuve, a modernisé ses studios. Le but de la LFL est donc de faire mieux encore que l'an passé. Webedia revendique 35 millions de vues pour les matchs de LFL la saison dernière, avec un pic de 163.000 spectateurs en simultané.