Le sort des migrants en Italie, le Hezbollah libanais et les comptes de la Sécurité sociale dans "franceinfo et vous" du mercredi 16 octobre 2024

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Article rédigé par franceinfo
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"franceinfo et vous". (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)

L'Italie a mis en place, mercredi 16 octobre, le début de sa nouvelle politique migratoire en déplaçant les migrants de son territoire vers l'Albanie. Cet accord rappelle le débat qui avait eu lieu au Royaume-Uni lorsque certains membres du parti conservateur voulaient déplacer des migrants vers le Rwanda. Le sort de ces migrants interpelle les auditeurs de franceinfo et notamment Zied, qui se demande "si c'est légal ?" Isabelle Labeyrie, de la rédaction internationale de Radio France, détaille cet accord d'externalisation de la demande d'asile voulu par le gouvernement de Giorgia Meloni et son impact sur les autres pays de l'Union européenne.

Louis Sellier, correspondant de franceinfo en Albanie, raconte dans quelles conditions sont arrivés les migrants dans le port de Shengjin, une petite cité balnéaire située dans le nord du pays, à une heure de route de la capitale Tirana. Il raconte aussi comment ces migrants seront hébergés dans des centres construits par les Italiens.

Les auditeurs ont également des questions de sémantique par rapport au vocabulaire utilisé pour évoquer les événements au Proche-Orient. Alexandre se demande pourquoi les journalistes parlent du Hezbollah libanais alors que lorsque le Hamas est évoqué, il n'est pas précisé s'il s'agit de la branche palestinienne ou gazaouie. Il s'interroge donc sur l'existence d'autres Hezbollah. Christian Chesnot, de la rédaction internationale de Radio France, lui répond qu'il existe effectivement d'autres Hezbollah, notamment en Irak ou en Afghanistan.

Enfin, Michel a une question sur le rejet des comptes 2023 de la Sécurité sociale par l'Assemblée nationale après le rejet de ceux de l'État. Il s'interroge sur les conséquences d'une telle décision. Aurélie Herbemont, du service politique de franceinfo, lui répond que ce rejet est avant tout symbolique, pour montrer son opposition au gouvernement, et qu'il aura peu d'impact concret.

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