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Des étudiants qui allient esprit d'entreprise et utilité sociale

Au sommaire d'Info Campus, avec Sandrine Chesnel: coup de projecteur sur l'association étudiante SIFE Sciences Po Lille. Mais aussi les chiffres de l'insertion professionnelle des jeunes diplômés des grandes écoles, 2 nouvelles formations à Henry IV et à l'Université de Cergy Pontoise, et un colloque sur la "constante macabre".
Article rédigé par Raphaël Ebenstein
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Franceinfo (Franceinfo)
  • Coup de projecteur sur l'association SIFE SciencesPo Lille avec sa présidente Anneline Coenig, étudiante en 4ème année à l'Institut
    d'Etudes Politiques de Lille. Elle appartient au réseau de SIFE, ONG présente
    dans prés de 40 pays, qui cherche à développer les compétences managériales et
    entrepreneuriales des étudiants, au service des personnes en difficulté.

 - 82,5 % des jeunes diplômés d'une grande école en 2011 étaient en poste
moins de 2 mois après leur sortie d'école et près de 80% en CDI. C'est ce qui
ressort des statistiques de la Conférence des grandes écoles. Autre chiffre motivant pour les
diplômés ou futurs diplômés de ces écoles, les salaires sont en légère
progression, à 34 173 euros brut en moyenne contre 33 030 euros l'année
dernière.

 - Un diplôme d'un nouveau genre à partir de la rentrée 2012, proposé par le
célèbre lycée parisien Henry IV et le Pôle de recherche Paris Sciences et Lettres. Cette licence "triple A" se veut l'alliance du meilleur de la classe
prépa et de l'université, mais n'entend pas préparer les 60 bacheliers bientôt
accueillis aux concours des grandes écoles.

 - Un nouveau master de journalisme  lancé par l'université de Cergy
Pontoise. Le concours d'entrée, organisé début juillet, est ouvert aux étudiants
titulaires d'une licence. Mais le dossier d'inscription est à retirer avant le
22 juin auprès de l'université.

  • Le Mouvement contre la constante macabre  en
    colloque annuel ce jeudi 21 juin à Paris.
    Le concept, développé par le chercheur en didactique André Antibi, entend
    démontrer que quelque soit le niveau des copies qu'un professeur doit corriger,
    il mettra toujours un certain pourcentage de mauvaises notes.

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