Alexandre Pasteur, commentateur du Tour de France sur France Télévisions : "On va essayer cette année d’amener plus de légèreté"
Alexandre Pasteur, commentateur du Tour de France sur France Télévisions, revient sur franceinfo vendredi 6 juillet, sur ce marathon, à la fois sportif et médiatique, qui commence samedi à Noirmoutier.
"On va essayer cette année d’amener plus de légèreté", déclare Alexandre Pasteur, commentateur du Tour de France sur France Télévisions, à la veille du départ de la 105e édition de la course à Noirmoutier, en Vendée.
3 329 kilomètres, 21 étapes, toutes diffusées en intégralité sur la télévision publique. Au total ce sont 110 heures d'antenne. Le Tour de France n'est donc pas qu'un marathon pour les sportifs, il l'est aussi pour les journalistes qui le suivent. En particulier pour Alexandre Pasteur, qui pour la deuxième année consécutive est au commentaire de la course pour France Télévisions. "L'année dernière j'ai eu un coup de flip en m'asseyant dans le fauteuil qui a aussi été celui de Robert Chapatte, de Patrick Chêne, de Christian Prudhomme", confie celui qui, une fois la course commencée, s'est toutefois laissé "emporter par le tourbillon".
Un rendez-vous à la fois sportif et culturel
Et mieux vaut deux fois qu'une, il sera comme l'année dernière, accompagné du journaliste et historien Franck Ferrand, pour couvrir ce grand moment de l'été. Si le Tour de France "est avant tout une course de vélo", Alexandre Pasteur convient que c'est également un rendez-vous culturel grandement attendu des téléspectateurs : "Une grande partie d'entre eux nous écoutent pour voyager par procuration." Chose aisée selon lui avec "la voix de Franck Ferrand, conteur d'histoire passionné". "Le parcours est aussi un prétexte pour mettre en valeur le patrimoine de la France. Les châteaux, les églises, mais pas que. Il y a aussi les richesses archéologiques et géologiques à découvrir", poursuit-il.
Rendez-vous demain sur franceinfo et France Télévisions pour ne pas louper le début du Tour de France. Un événement que ne louperait en tout cas pour rien au monde Alexandre Pasteur : "C'est une obsession. Une fois que vous y goûtez, vous ne pouvez plus vous en passer."
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