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Chékéba Hachémi : l'insolente de Kaboul

Les Afghans l’appellent l’Insolente de Kaboul… Chékéba Hachemi, le genre de femme a plusieurs vies entre l’Afghanistan et la France. Sa meilleure arme : son franc-parlé et un combat parmi tant d’autre : l’éducation des femmes.
Article rédigé par Lucie Montchovi
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Franceinfo (Franceinfo)

A 37 ans Chékéba Hachemi a décidé de se raconter dans un
livre. Elle si pudique qui pendant longtemps a porté haut la voix des afghanes.
Aujourd’hui c’est la sienne qu’elle veut qu’on entende. Qu’on entende
l’histoire d’une petite fille de 11 ans 
contrainte de fuir, la guerre, les bombardements, l’occupation
soviétique en Afghanistan.

Arrivée en France en 1985, Chékéba Hachemi se fait une
promesse revenir à Kaboul. Avec des amies françaises, elles fondent une
association «  Afghanistan libre ». Finance des écoles  filles, des centres de santé, des
bibliothèques, un orphelinat, des dispensaires dans la vallée du Panshir. En
1999 alors que les talibans imposent un régime de terreur, Chékéba Hachémi
retourne au pays, pour y rencontrer celui que l’on surnomme :  le commandant Massoud

 

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