L'empire des séries. "Dash et Lily", la comédie romantique de Noël parfaite
Dans "Dash et Lily", deux âmes esseulées se cherchent durant Noël dans tout New York et se lancent des défis par le biais d'un petit carnet rouge. La comédie romantique par excellence de cette fin d'année est disponible sur Netflix.
La série Dash et Lily, disponible sur Netiflix, c’est vraiment le conte de Noël par excellence. Qui fait du bien parce que soudain on voyage dans un New York de cartes postales, de Greenwich village à l’Empire State Building, du Rockfeller Center à Central Park dans les jolies couleurs et décorations de l’hiver.
Un petit carnet rouge
Tout débute dans la plus célèbre librairie de la ville. Un jeune lycéen qui préfère lire que célébrer de façon forcée les fêtes tombe par hasard sur un petit carnet rouge perdu au milieu du rayon du romancier Jerome David Salinger : sur ce carnet, quelqu’un a écrit à la main. C’est le point de départ d’un jeu de piste à travers tout New York entre ce garçon et la jeune fille qui a déposé ce carnet comme une bouteille à la mer.
Elle est son parfait opposé : toujours souriante dans sa chambre aux couleurs bariolées. Elle adore Noël et chanter dans des chorales à travers la ville. Désormais, sans se rencontrer, ils se laisseront le carnet dans des endroits toujours plus saugrenus avec à chaque fois des défis à relever : s’asseoir sur les genoux du Père Noël au grand magasin de New York ou chanter dans une librairie…
Par le réalisateur des "Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire"
Dash et Lily est inspiré du roman à succès des américains Rachel Cohn et David Levithan, déjà auteurs d’Une nuit à New York, adapté au cinéma en 2008. C’est Joe Tracz, familier des séries et pièces pour ados qui l’adapte en série. On lui doit déjà sa version drôle et enlevée des Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire.
Son Dash et Lily a des allures de Coup de foudre à Notting Hill ou de Nuits blanches à Seattle pour lycéens : une histoire d’amour simple et urbaine entre des êtres opposés et un parcours semé d’embuches. Durant ces huit épisodes de 26 minutes, on passera une nuit d’amour dans un musée vide, on ira dans une fête punk de hanuka dans le sous-sol d’un magasin juif, et la jeune fille laissera derrière elle une bottine rouge comme dans Cendrillon.
Alors bien sûr on pense connaître la fin. C’est drôle, touchant, tout ce qu’il nous faut durant les fêtes.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.