L'histoire à la carte. Le "Merveilleux", gâteau sublime des Flandres
Il est né dans les Flandres, et des boutiques rétro l'ont rendu célèbre dans le monde entier, c'est le Merveilleux.
Il est né, peut-être au XIXe siècle, entre la Belgique et le nord de la France, disons les Flandres pour effacer toute polémique.
Le Merveilleux a toujours accompagné les grandes occasions dans ces régions
Il accompagne et ponctue le repas dominical, les mariages ou les anniversaires. C'est une pâtisserie traditionnelle d'une légèreté absolue, composée d'une meringue et de crème et enveloppée de copeaux de chocolat.
Il y a une vingtaine d'années, Frédéric Vaucamps a lancé une enseigne uniquement consacrée à ces Merveilleux, où il met en scène leur fabrication sous les yeux du client dans un décor à l'ancienne. Le succès est fulgurant puisque la marque essaime désormais dans le monde entier.
Thierry Marx a choisi une recette de Merveilleux signée Pierre Marcolini
Ingrédients :
Pour la meringue 200 g de blanc d’œufs (soit environ 7 blancs d’œufs, 200 g de sucre fin, 200 g de sucre glace ; pour la Chantilly 200 g de crème fraîche très froide, 20 g de sucre fin, 100 g de chocolat noir de qualité.
Préparation :
Dans un robot, battre les blancs en neige en versant progressivement le sucre. Une fois les blancs montés bien fermes et brillants, incorporer délicatement le sucre glace à la spatule. Verser le mélange dans une poche à douille, et pocher des disques d’environ 8 cm de diamètre sur une plaque de cuisson, recouverte de papier sulfurisé. Taper légèrement la plaque pour uniformiser les meringues.
Faire cuire pendant 2 heures à basse température (100 °C max). Réserver dans un endroit sec. Fouetter vivement la crème fraîche froide. Verser progressivement le sucre et continuer de battre jusqu’à ce que la crème soit bien serrée. Dresser sur les meringues des rosaces de chantilly et terminer par une meringue sur le dessus.
Réaliser des copeaux de chocolat en grattant la tablette à l’aide d’un grand couteau ou d’une cuillère parisienne. Rouler le merveilleux dans les copeaux de chocolat. Dévorer aussitôt, ou laisser reposer une ou deux heures pour plus de moelleux.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.