Cet article date de plus d'onze ans.

Non-lieu de Sarkozy : Guaino réclame un débat sur la justice

Le juge d'instruction a rendu son verdict : Nicolas Sarkozy est innocent. Les amis de l'ancien président clament leur joie. Mais certains en veulent aux juges, à l'image d'Henri Guaino, ancien conseiller spécial à l'Elysée et député des Yvelines.
Article rédigé par Yannick Falt
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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Sur i-Télé , bien que satisfait de la décision finale du parquet de Bordeaux dans l'affaire Bettencourt, Henri Guaino n'a pas mâché ses mots : " On perçoit ici ou là un gouvernement des juges, qui veut absolument faire effraction dans le cœur du pouvoir exécutif. La Constituion est quand même beaucoup
malmenée (...) Il y a un grand débat
à avoir sur la justice, sur la responsabilité des juges. On ne peut pas avoir une telle désacralisation de nos institutions, un tel acharnement, et d'un autre côté des voyous, qui se promènent en liberté.".

Affaire Karachi

Edouard Balladur s'est défendu au micro d'Europe 1 de tout
financement occulte dans sa campagne présidentielle en 1995. Il a rappelé qu'elle
a été "financée dans le respect des règles en vigueur" et que ses
comptes de campagnes ont été validés par le Conseil Constitutionnel.

Balladur a également envoyé un message à Nicolas Sarkozy.
Contrairement aux autres invités de droite, il conseille à l'ancien président
de rester dans l'ombre un moment et ne pas revenir trop tôt sur la scène
politique.

Valérie Pécresse critique le déplacement de Manuel Valls en Moselle sur RTL

Comme l'ensemble de la droite, Valérie Pécresse remet en cause l'action du ministre de l'Intérieur : "Mettre le FN au cœur de la politque, c'est  l'instrumentalisation de la gauche. Manuel Valls
courant le pays pour parler du FN plutôt que de s'attaquuer aux voyous, vous
voyez, tout ça, c'est très miterrrandien.
"

Municipales à Paris

Sur notre antenne, Nathalie Kosciusko-Morizet a soutenu la candidature de Florence Berthout dans le 5e arrondissement, tout en qualifiant le choix d'Anne Hidalgo de "monarchique".

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