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Abandon de Borloo : "peut être y a-t-il eu des pressions de l''Elysée" (F. Hollande)

François Hollande est revenu ce matin sur l'abandon de Jean-Louis Borloo dans la course à l'Elysée. Le candidat à la primaire socialiste en a profité pour redire que c'est au premier tour que l'élection présidentielle va se jouer.
Article rédigé par Célyne Baÿt-Darcourt
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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L’abandon de Jean-Louis Borloo de la course à la présidentielle

"Ce qui me frappe toujours dans un moment comme celui-là, où un homme annonce une non candidature, c’est la part des considérations personnelles. Il n’y avait surement pas cette détermination, cet engagement et cette volonté (pour une candidature à l’Elysée).
_ Peut être y a-t-il eu des pressions politiques venues de l’Elysée ?
La candidature unique de la droite est aujourd’hui plutôt en marche."

Récupérer des voix de Borloo ?

"Je ne suis pas la pour faire du racolage"

Le premier tour et Marine Le Pen

"Quand les sondages indiquent que Marine Le Pen est à 18 % ou 19% [...] quand son, propre père était à 17 % le 21 avril 2002, alors la menace de l’extrême droite présente au second tour n’est pas virtuelle, elle est réelle. Les électeurs doivent être conscients que c’est au premier tour que va se décider l’élection, présidentielle de 2012. Si je suis […] le candidat socialiste je rappellerai cette réalité."

Revoir le programme socialiste s’il est élu ?

"Si je suis désigné, j’aurai à cœur de respecter ce projet. Maintenant, la situation économique évolue chaque jour. Le contrat de génération devra figurer dans mon projet."

Cumul des mandats

"Au lendemain de notre victoire à l’élection présidentielle […] aucun député et aucun sénateur ne pourra cumuler un mandat exécutif local."

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