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Axelle Lemaire dévoile les métropoles labellisées "French Tech"

Le gouvernement à la recherche du Google français. C’est aujourd’hui sur France Info que la Secrétaire d’État au numérique a dévoilé le nom des 9 sites labellisés "Métropole French Tech".
Article rédigé par Jean Zeid
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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Aix-Marseille, Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier Nantes, Rennes, Toulouse, voilà la liste des métropoles labellisées "French Tech". Une liste non définitive qui pourra grandir avec le temps.

Au fait, c'est quoi la "French Tech" ?

C’est tout simplement un label instauré par le gouvernement dans le secteur du numérique. Le but : promouvoir les start-up et tous ses talents à l’étranger : entrepreneurs, ingénieurs, blogueurs, etc. Un label pour les réunir tous et les faire briller hors de nos frontières. Bien sûr, on connait les pépinières d’entreprises, les accélérateurs, où ces toutes ces petites entreprises prometteuses peuvent travailler, se parler, se réunir, s’entraider mais là, on est à un niveau national. Par exemple : si une start-up de la "French Tech" cherche à travailler avec une grande entreprise française, c’est plus facile avec ce type de structure. Si elle a des soucis administratifs, même constat. Les métropoles labellisées "French Tech" devront ainsi créer un site où pourront se retrouver ces pépites. Parmi elle, peut-être le Google made in France ? On cherche surtout à créer des emplois en France et à les pérenniser.

Est-ce qu’il y a un budget à la clé pour soutenir ces jeunes entreprises ?

Oui et non. Il n’y a pas de subventions données directement aux start-up. On cherche surtout à créer le meilleur environnement possible entre privé et public pour ne pas qu’elles se fassent dévorer par la concurrence internationale. 200 millions d'euros seront investis par l’Etat pour aider les accélérateurs de start-up, 15 autres millions seront destinés à la promotion des villes labellisées "French Tech" à travers le monde.  

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