En Nouvelle-Calédonie, fermeture de l'usine de nickel de la Province Nord

Une usine de nickel qui ferme en Nouvelle-Calédonie, 10 tonnes de cocaïne saisies aux Antilles, une administration mobile à La Réunion.
Article rédigé par franceinfo, Outre-Mer La 1ère
Radio France
Publié
Temps de lecture : 4 min
1200 salariés perdent leur emploi à l'usine KNS, à Vavouto, dans la Province Nord de Nouvelle-Calédonie. (DELPHINE MAYEUR / AFP)

En Nouvelle-Calédonie, 1200 salariés se retrouvent sur le carreau suite à l’arrêt de l’usine de nickel KNS, dans la Province Nord. Son activité devait contribuer au rééquilibrage économique du territoire entre le nord indépendantiste et le sud loyaliste. Mais les difficultés se sont accumulées au fil des années. Jusqu’à la fermeture du site samedi 31 août. Le projet était né après les accords de Nouméa, en 1998.

Cette semaine, le corps des forces armées basées aux Antilles a annoncé la saisie de plus de 10 tonnes de cocaïne sur un navire de pêche au large de la Martinique. L’opération a eu lieu le 14 août dernier. Des prises dont le volume déconcerte jusqu’à la procureure de la République de Fort-de-France, inquiète de la réalité du trafic.

La terre a tremblé cette semaine à Mayotte. Un séisme de 4,9 sur l’échelle de Richter. Il a été assez fortement ressenti par la population qui en a bien compris l’origine : il s’agit d’un volcan sous-marin découvert en 2019 au large du département.

À La Réunion, un village des droits et service s’est posé jeudi dernier à la plaine des Cafres : 11 bureaux mobiles de passage dans les hauts de l’île. L’objectif est d’informer les habitants des quartiers éloignés de la ville des dispositifs d’accompagnement auxquels ils ont droit.

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