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Le journal des Outre-mers. En Martinique, le combat des agriculteurs pour une culture 100% biologique

Aux Antilles, les agriculteurs s'intéressent à la notion de souveraineté alimentaire.

Article rédigé par franceinfo - Tessa Grauman
Radio France
Publié
Temps de lecture : 5 min
La filière bio en Martinique pourtant en pleine croissance a du mal à satisfaire la demande locale. Alexandre Terne, au Lorrain a opté pour la diversification agricole. (MARTINIQUE 1ERE)

Alors que s’ouvre ce week-end, le salon de l’agriculture à Paris, avec son incontournable pavillon des outre-mer, en Martinique, des agriculteurs se battent par une culture 100% biologique, malgré la pollution des sols au pesticide chlordécone. Alexandre Terne est installé au Lorrain depuis 1985. Et il défend aussi l’idée d’une souveraineté alimentaire sur son territoire. Propos recueillis par Sophie Lonété, Martinique la 1ère. 

L’équipe de France féminine de natation artistique en stage de préparation à Cayenne

La Guyane accueille régulièrement les sportifs de haut niveau pour des stages de préparation à des compétitions. C’est le cas de l’équipe de France féminine de natation artistique, qui a passé toute la semaine à Cayenne. Reportages de Jessy Xavier, Guyane la 1ère.

Gaston Flosse pourra-t-il se présenter au municipales de Papeete ?

Ce jeudi 20 février, la Cour de cassation a donné un nouveau coup d’arrêt au projet de l’ex-homme fort de Polynésie, Gaston Flosse, de rebondir en politique. Après plusieurs condamnations pour corruption, détournement de fonds publics et prise illégale d'intérêts, son pourvoi pour s’inscrire sur les listes électorales de Papeete a été rejeté. Confirmant un jugement en première instance. Mais Gaston Flosse ne s’avoue pas vaincu. Il a déjà déposé une deuxième demande d’inscription auprès de la mairie de Papeete qui doute que son local de 15m2 en centre-ville soit sa résidence principale.    

Disparition des langues locales à Wallis et Futuna

À  2800 km de Tahiti, sur l’archipel de Wallis et Futuna, les enseignants s’inquiètent de la disparition des langues locales. Pour maintenir le bilinguisme, ils incitent les élèves à parler dans leur langue maternelle. Reportage à l’école maternelle de Sausau à Futuna. Un reportage de Lotana Moefana, Wallis et Futuna la 1ère.

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