Abstention, liesse et résignation : le récit de la soirée du second tour
Vous n'avez pas suivi la soirée électorale ? On vous raconte tout dans cet épisode spécial du Quart d'Heure ! Les résultats, la forte abstention, la liesse des soutiens d'Emmanuel Macron rassemblés au Champ-de-Mars, la résignation des électeurs qui ont voté pour "faire barrage" et les rêves de revanche des perdants qui regardent vers les élection législatives... Notre équipe a baladé ses micros pour vous faire revivre ce second tour pas tout à fait comme les autres.
"Et un, et deux, et cinq ans de plus". Un slogan chanté par les soutiens d'Emmanuel Macron rassemblés sur le Champ-de-Mars, à Paris; d'abord en signe d'espoir, puis, pour crier victoire lorsqu'à 20 heures les résultats se sont affichés sur l'écran géant. Aussitôt, la fébrilité a laissé place à la liesse. Notre reporter au Quart d'Heure, Margaux Queffélec, était présente à l'heure fatidique pour nous faire vivre ce moment festif.
Ni Macron, ni le Pen
Des résultats qui ne galvanisent pourtant pas tout le monde, comme en témoigne le taux d'abstention estimé à 28,2%. Et pour les personnes qui se sont déplacées, comment ont-elles vécues le vote ? Quand Leslie Larcher a baladé son micro à la sortie des bureaux de vote, la résignation était palpable parmi les électeurs qui souhaitaient avant tout faire barrage au Rassemblement National.
Début du troisième tour
Marine le Pen, justement, a préféré rester combative dans son discours. Mais difficile de contrer la déception de ses soutiens, notamment ceux présents au QG d'Hénin-Beaumont (Hauts-de-France), où se trouvait la journaliste Noémie Bonnin. Elle raconte, pour le Quart d'Heure, l'ambiance morose qui a régné dès que le visage du vainqueur est apparu. Pourtant, pas de quoi faire perdre tout espoir au Rassemblement National, qui compte sur les législatives de juin. Idem du côté de Jean-Luc Mélenchon, qui se prépare déjà "au troisième tour". Outre le début de cette nouvelle bataille, on vous explique aussi, dans le Quart d'Heure, les attentes des électeurs d'Emmanuel Macron pour les cinq ans à venir.
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