Peut-on parler de traumatisme pour les sinistrés des inondations ?
Selon Claude Halmos, chaque maison représente beaucoup plus q'un simple toit, une maison est également un "contenant rassurant ". Dans notre maison, "nous sommes protégés du regard des autres... et certaines personnes ont davantage besoin de cette sécurité intérieure ". Quand ce contenant s'effondre, les repères disparaissent avec. Pour aider les sinistrés, "il faut d'abord reconnaître leur douleur ", préconise Claude Halmos. "Lélan de solidarité est également très important ", souligne la psychanalyste.
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