Tout est politique. "Nous n'allons pas vers la grève générale, nous allons vers le tout sauf Macron", affirme Jean-Christophe Cambadélis
Les invités de "Tout est politique" sont notamment revenus, vendredi, sur la grogne sociale en France.
Y a-t-il un risque de contagion sociale pour le gouvernement, alors que le bras de fer s'est poursuivi, vendredi 6 avril, entre les syndicats de cheminots et la ministre des Transports ? La veille, Jean-Luc Mélenchon a annoncé son intention d'organiser deux rassemblements anti-Macron à Marseille, les 14 et 19 avril. Un autre député insoumis, François Ruffin, appelle, lui, à une manifestation nationale commune le 5 mai.
L'extrait
Jean-Christophe Cambadélis, l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste, était invité de "Tout est politique", vendredi 6 avril, sur franceinfo. L'ancien premier secrétaire du Parti socialiste assure qu'un mouvement "tout sauf Macron" se prépare.
Jean-Christophe Cambadélis : Je suis venu avec deux propositions. L'une, que le Premier ministre reçoive les syndicats de la SNCF. L'autre, avec une constatation : nous n'allons pas vers la grève général, mais nous allons vers le "tout sauf Macron" avec, ce que j'appellerais comme les Italiens, les convergences parallèles, c'est à dire qu'il n'y a pas d'éléments qui convergent, mais il y a l'objectif de voir mis en cause le pouvoir (...) On est dans une nouvelle phase et cette phase est une phase de contestation absolue.
Les invités
Jean-Christophe Cambadélis, ancien premier secrétaire du Parti socialiste
Gilles Legendre, député La République en marche de la 2e circonscription de Paris
Jérémie Peltier, directeur des études à la Fondation Jean Jaurès
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