Vincent Moscato : "On fait tous semblant d'avoir une humanité qu'on n'a pas"

Vincent Moscato est sur une radio commerciale, catalogué grande gueule . On le voit aussi sur les écrans de cinéma, notamment dans le dernier Asterix , dans Camping 2 , ou dans Le fils à Jo , un film autour du rugby qui a fait plus d'un million d'entrées.

A la fin de sa carrière de joueur, Moscato a tenté le cinéma après avoir été entraîneur. Il a couru les castings. Mais dans le milieu du cinéma français, il a souffert de son image d'ancien rugbyman.

Il est auteur d'un one man show baptisé One Man Chaud . Le DVD vient de sortir.

Vincent Moscato est encore en tournée en France. Lyon, La Rochelle, Béziers, Perpignan, et Paris, Au Folies Bergère, trois soirs de suite en mars!  Et ce soir, parce qu'on ne cite pas assez les petites villes, il est à Decazeville (Aveyron).

Moscato parle  beaucoup de sport, de rugby, mais aussi de foot. Et il a inventé un verbe : "se rybériser".
Parfois, il bastonne tellement, qu'on peut se poser la question s'il rigole vraiment.

Dans un tout autre genre, il raconte sur scène une anecdote qu'on a peine à croire. Max Gazzini, le président du club de Rugby du Stade Français, mais également fondateur de la radio NRJ, avait imposé un rituel à ses joueurs : embrasser la robe de Dalida qui trônait dans le vestiaire. Pas facile d'être joueur de rugby de haut-niveau...