Transportez-moi en Mongolie (3/6)

Ce sont les derniers peuples cavaliers qui ont fait leur histoire à travers le cheval, moyen principal des grandes conquêtes, notamment de Gengis Khan.

Le cheval est ou fut au centre de leur existence, assurant leurs déplacements comme leurs campagnes guerrières.

Gaelle Cochard, Responsable à Voyageurs du Monde nous raconte que 1 million de Mongols sont encore nomades et vivent dans des yourtes traditionnelles, qui sont facilement montées et démontées à chaque étape, d’un lieu de pâturage à un autre.

En parcourant cet immense plateau d’altitude, on peut voir des animaux tels que loups, antilopes, chevaux en liberté, yacks, chameaux (les derniers chameaux sauvages), des villages de yourtes, la taïga sibérienne et le désert de Gobi. 

La Mongolie est également connue  pour ses chameaux à 2 bosses particulièrement résistants puisque les températures peuvent aller de moins 40° C en hiver à plus 40°C en été. Le feutre provenant de la fourrure du chameau, sert à isoler les yourtes.

Le chameau est un animal de bât, qui peut être monté. Le voyageur est coincé entre les 2 bosses, c’est assez confortable, mais gare à celui qui est sensible au mal de mer…

La Mongolie peut également se visiter en train dont le fameux Orient Express, train d'un luxe inoui.

Mais on peut également emprunter le train des voyageurs locaux, beaucoup moins confortable , mais qui permet de s’imprégner de la vie locale

France Info, Air France  et Voyageurs du Monde, vous offrent la possibilité de gagner des séjours d’exception. Pour cela rendez-vous sur franceinfo.fr, rubrique partenariat  et répondez à la question suivante :

Combien y a-t-il de mongols par chameau? environ 5, 10 ou 20 ?

*Annexe

Une des caractéristiques communes des peuples cavaliers, est l'apprentissage de l'équitation par les enfants, dès leur plus jeune âge, et l'utilisation culinaire du lait de jument.

De tous temps, les peuples nomades, guerriers et éleveurs, dont le moyen de transport était le cheval, privilégiaient le rapport avec cet animal auquel des cultes étaient rendus.

On ne mange pas le cheval, mais il pouvait être sacrifié et inhumé avec son maître, et auquel de grandes fêtes et de grandes courses étaient dédiées.

Encore aujourd'hui, chaque année, sont organisés des gigantesque courses de chevaux mongols montés par des enfants (garçons ou filles, de l'âge de 6 à 12 ans).*