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L'un des derniers étrangers ayant vécu à Alep : "Nous ne voulons pas voir ce qui se passe en Syrie"

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Alep, la deuxième ville de Syrie, deux millions d'habitants, est en partie administrée depuis des mois par une opposition démocratique. Jean-Pierre Filiu est l'un des derniers étrangers à s'y être rendu. Il estime que la communauté internationale aujourd'hui est désinformée et que la conférence de Genève n'a pas lieu d'être.

franceinfo

Radio France

Publié le 31/10/2013 14:27 Mis à jour le 09/05/2014 23:31

Temps de lecture : 1min

"La population syrienne ne comprend pas que nous ne
comprenions la tragédie qu'elle vie au quotidien ", explique Jean-Pierre
Filiu. Alep est partagée aujourd'hui entre l'Est sous contrôle révolutionnaire
et l'Ouest sous contrôle gouvernemental. "Nous ne voulons pas voir ce qui
se passe en Syrie. Le monde entier est concentré sur des chimères qui ne vont
nulle part. "

Russie

Dans le cadre de sa visite en Russie, Jean-Marc Ayrault a
visité cet après-midi le Collège universitaire français. Une entité rattachée à
l'Université d'Etat Lomonossov de Moscou qui dispense à ses élèves, depuis 22
ans, un enseignement gratuit en français ou en russe.

Créé à l'initiative du dissident Andreï Sakharov et de
l'écrivain Marek Halter, le Cuf, comme on l'appelle là-bas, est spécialisé dans
les sciences humaines et propose sur deux ans des cours de droit, de
philosophie, de littérature, d'histoire et de sociologie en parallèle aux
cursus russes.