A l'occasion, samedi, de la journée mondiale des accidents vasculaires cérébraux, nos reporters sont allés à la rencontre de ceux qui doivent passer par une longue convalescence après en avoir été victimes.
Elisabeth a été victime d'un AVC en 2011. Depuis, elle tente de reprendre une vie normale, même si elle garde des séquelles. Elle nous raconte les circonstances de l'accident, qui aurait pu tourner au drame si elle n'avait pas été prise en charge et opérée rapidement après qu'un caillot se soit formé dans l'une des artères de son cerveau. De nouveaux traitements apparus ces dernières années permettent cependant d'augmenter de façon significative les chances de récupération partielle ou totale.
Traiter l'AVC le plus rapidement possible
Pour le professeur Hassan Hosseini, neurologue au CHU Henri Mondor de Créteil (Val-de-Marne), la rapidité de l'hospitalisation est cruciale et conditionne grandement la durée de la convalescence et les séquelles éventuelles. Certains malades, notamment les plus jeunes, sont ainsi susceptibles de retrouver l'intégralité de leurs fonctions neuromotrices.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.