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La vigilance orange pour canicule sur le Haut et le Bas-Rhin, le Territoire de Belfort et le Rhône a été levée dimanche

Météo France l'avait levée samedi après-midi en Ile-de-France: à Paris et dans les trois départements limitrophes de la petite couronne ."L'épisode de fortes chaleurs qui a débuté jeudi touche à sa fin", avait indiqué Météo France.
Article rédigé par Angel Herrero Lucas
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 2min
Les fontaines du Louvre à Paris le 08/07/10 (AFP Flore Giraud)

Météo France l'avait levée samedi après-midi en Ile-de-France: à Paris et dans les trois départements limitrophes de la petite couronne .

"L'épisode de fortes chaleurs qui a débuté jeudi touche à sa fin", avait indiqué Météo France.

Fortes chaleurs et orages

Météo France a levé dimanche matin la vigilance orange pour canicule sur le Rhône, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin ainsi que le Territoire de Belfort où les températures relevées sous abri à 5 heures du matin ne sont pas descendues en dessous de 18 à 21 degrés, selon Météo France. Dimanche, sur ces départements cités, les températures maximales prévues varieront entre 30 et 35 degrés.

Si de telles conditions ne justifient plus le maintient en vigilance orange de ces départements, le temps de la journée restera lourd et humide, localement orageux, avec des températures élevées.

Les préfectures mobilisées
Les préfets des départements touchés avaient mis en oeuvre le niveau "mise en garde et action" du plan canicule qui prévoit notamment une liste de centres de rafraîchissement pour les plus vulnérables : personnes âgées, atteintes de maladie chronique, sous traitement médicamenteux, mais aussi les personnes isolées, les sans-abri et les enfants.

Le ministère de la Santé recommande de rester au frais, de ne pas sortir aux heures les plus chaudes, de bien s'hydrater et d'éviter les efforts intenses. Pendant la journée, il faut fermer rideaux et volets et bien aérer la nuit. Chacun doit rendre visite aux personnes fragiles de son entourage pour s'assurer qu'elles vont bien.

"Relativisons, on n'est pas du tout en 2003", a déclaré vendredi Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, tout en soulignant qu'il "faut être extrêmement vigilant".

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