Ces chansons qui font l'actu. Tant pis, on ne se couchera pas pour bronzer
Le déconfinement des plages est progressif. Voici alors de quoi se consoler de ne pouvoir s'allonger sur le sable pour prendre le soleil.
Espérons que, comme dans une vénérable chanson extasiée de Jacqueline Boyer en 1965, l’on retrouve la mer et la plage d’ici juillet. Pour l’instant, toutes les plages du littoral français ne sont pas ouvertes et surtout, les restrictions sanitaires empêchent d’en faire tous les usages habituels – bronzer allongé sur le sable chaud, pique-niquer, jouer au foot en équipe de 25...
Donc on peut se dire que ce n’est même pas grave. On s’en fiche. De toute façon, on n’aime pas la plage. La plage, c’est que du malheur et de la pluie...
Dans le second épisode de Ces chansons qui font l’actu diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :
Jacqueline Boyer, La Mer, la Plage, 1965
Christophe, Aline, 1965
Pascal Danel, La Plage aux romantiques, 1966
Marie Laforêt, La Plage, 1970
Bastien Lallemant et Armelle Pioline, La Plage, 2010
Georges Brassens, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, 1966
Benjamin Biolay, Les Joggers sur la plage, 2001
Kalafate, À la plage je suis un Jules, 1969
Eric Toulis, À la plage, 2012
Jean-Max Rivière, La Madrague, 1963
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Tout cet été, nous avons eu le plaisir d'une longue conversation musicale avec une immense artiste dans La Playlist de Françoise Hardy.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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