Vidéo IVG dans la Constitution : "Nous avons une dette morale" envers toutes les femmes qui "ont souffert dans leur chair", déclare Gabriel Attal au Congrès

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Le discours de Gabriel Attal devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles, le 4 mars 2024.
IVG : l'intégralité du discours de Gabriel Attal Le discours de Gabriel Attal devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles, le 4 mars 2024. (FRANCEINFO)
Article rédigé par franceinfo
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Dans son discours précédant les débats pour inscrire l'interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, le Premier ministre a fait applaudir Simone Veil et son combat pour la légalisation de l'avortement.

"Aujourd'hui, le présent doit répondre à l'histoire". Dans son discours précédant les débats pour inscrire l'interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution, le Premier ministre Gabriel Attal a fait applaudir Simone Veil et son combat pour la légalisation de l'avortement. "Nous avons une dette morale" envers toutes les femmes qui "ont souffert dans leur chair", a ajouté Gabriel Attal, devant les députés et sénateurs réunis en Congrès au château de Versailles, lundi 4 mars. "Nous sommes hantés par la souffrance et par la mémoire de tant et tant de femmes qui, des décennies durant, ont souffert de ne pas pouvoir être libres", a-t-il insisté, se félicitant de "l'aboutissement d'un long combat".

Quelques minutes plus tôt, le chef du gouvernement était arrivé accompagné de Jean Veil, l'un des trois fils de Simone Veil qui, lorsqu'elle était ministre de la Santé, avait défendu la loi dépénalisant l'avortement. 

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