Procès Barbarin : une ex-responsable d'une cellule d'écoute de victimes au diocèse de Lyon se défend d'avoir "étouffé" des agressions sexuelles

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L'achevêque de Lyon, Philippe Barbarin, entouré de ses avocats et de journalistes, au premier jour de son procès, le 7 janvier 2019. (JEFF PACHOUD / AFP)

Les six prévenus encourrent trois ans de prison et 45 000 euros d'amende.

Ce qu'il faut savoir

Deuxième jour du procès du cardinal Barbarin et de cinq autres accusés, mardi 8 janvier, au tribunal correctionnel de Lyon (Rhône). Les six hommes sont jugés pour non-dénonciation d'agressions sexuelles commises sur des mineurs par le père Preynat dans les années 1980 et 1990. Revivez la journée d'audience avec franceinfo.

"Je ne vois pas de quoi je suis coupable." Lundi, le cardinal Barbarin, qui est aussi archevêque de Lyon, a été interrogé pendant près de trois heures, durant lesquelles il a clamé son innocence"Je n'ai jamais cherché à cacher, encore moins à couvrir ces faits horribles", a assuré Philippe Barbarin.

Au programme de ce deuxième jour, la fin des auditions des prévenus et le début de celles des parties civiles. 

 Trois ans de prison ferme encourus. Les six accusés encourent trois ans de prison et 45 000 euros d'amende.