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Vidéo L'homicide conjugal, une mécanique qu'il serait possible d'enrayer

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Envoyé spécial. L'homicide conjugal, une mécanique qu'il serait possible d'enrayer
Envoyé spécial. L'homicide conjugal, une mécanique qu'il serait possible d'enrayer Envoyé spécial. L'homicide conjugal, une mécanique qu'il serait possible d'enrayer (ENVOYÉ SPÉCIAL / FRANCE 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions

Tous les trois jours en France, une femme meurt assassinée par son conjoint. Loin d'être de simples faits divers, ces crimes obéissent à un schéma bien précis. Une médecin française les analyse afin de permettre une meilleure prévention. "Envoyé spécial" dissèque cette mécanique sinistre : celle de l'homicide conjugal. 

Elle s'appelait Laurie, elle avait 28 ans. Sa vie a été brisée net le 17 janvier 2018 sur un trottoir de Nîmes : tuée par son compagnon. Un fait divers isolé ? Comme elle, en France, en moyenne, tous les trois jours en France, une femme meurt assassinée par son conjoint. Elles ont un prénom, un visage : Jessica, 42 ans, Estelle, 34 ans, Mariama, 32 ans, Emilie, 34 ans… et toutes les autres.

Un schéma type

Le 5 avril 2018, "Envoyé spécial" dissèque une mécanique sinistre : celle de l'homicide conjugal. On l'ignore souvent, mais ces meurtres fonctionnent selon un schéma type : circonstances identiques, mêmes profils chez les auteurs de ces violences. Alexia Delbreil, médecin légiste, tente de mieux comprendre ce qui relie ces crimes pour mieux les prévenir. Elle a réalisé la première étude d'ampleur sur l'homicide conjugal – une mécanique que ces nouvelles données aideront peut-être à enrayer.

Extrait de "Homicide conjugal, la mécanique du crime", un reportage diffusé dans "Envoyé spécial" le 5 avril 2018.

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